Moneda de Tiro del reinado de Galieno que representa en el reverso a Dido frente a un altar o templo (mediados siglo III d.C.).
Información de Wikipedia en francés, con algún que otro despropósito, como que Dido fue divinizada con el nombre de la diosa Tanit….
LO MEJOR: Que se pueden leer en francés las ediciones de los autores clásicos que cita.¡Un lujo¡.
Eneas informa a Elisa de la caída de Troya, P.N.Guerin.
Le point de vue hostile diffusé par Timée de Tauroménion, et répercuté par Justin, est fragile car, en se fondant sur l’interprétation de Gerhard Herm (Die Phönizier) et en s’appuyant sur des sources classiques telles que Virgile, Ovide, Silius Italicus ou Trebellius Pollio, on aboutit à un profil historiographique assez différent de la version traditionnelle et stéréotypée.
Didon était une princesse phénicienne, première-née du roi de Tyr, dont la succession est entravée par son frère Pygmalion. Pygmalion assassine son mari, Sychée, et impose sa propre tyrannie.
Pour éviter probablement une guerre civile, elle quitte Tyr avec une suite nombreuse, s’embarquant pour un long voyage dont les étapes principales furent l’île de Chypre et celle de Malte[1]. À Chypre, l’escadre embarque des jeunes filles destinées à épouser les membres masculins de l’expédition.
Dido y Eneas
Débarquée sur les côtes de l’actuelle Tunisie, vers 814 av. J.-C., elle choisit un endroit où fonder une nouvelle capitale pour le peuple phénicien : Carthage. Elle obtient pacifiquement des terres par un accord ingénieux avec le seigneur local : elle obtint une terre pour s’établir « autant qu’il en pourrait tenir dans la peau d’un bœuf ». Elle choisit alors pour fonder sa ville une péninsule qui s’avançait dans la mer et fait découper une peau de bœuf en lanières extrêmement fines. Mises bout à bout, elles délimitent l’emplacement de ce qui deviendra plus tard la grande Carthage. On fait souvent référence à ce stratagème en mathématiques, dans le domaine qui étudie les problèmes d’isopérimétrie.
Soumise à une cour pressante de la part des roitelets locaux, elle se remarie probablement avec l’un de ses fidèles tyriens, qui appartenait à la famille Barca, selon Silius Italicus[2]. Les autres sources présentent différemment les choses : pour ne pas avoir à trahir son serment de fidélité envers son défunt époux, elle se perce le cœur et se jette dans un bûcher prétendument dédié aux mânes de ce dernier.
Elle est divinisée par son peuple sous le nom de Tanit et comme personnification de la grande déesse Astarté (équivalent de la Junon romaine)[3],[4],[5].
Références
- ↑ Ovide, Fastes [détail des éditions] [lire en ligne [archive]], III, 567 et suiv.
- ↑ Silius Italicus, Puniques [lire en ligne [archive]], I, 71 et suiv., II, 239.
- ↑ Virgile, Énéide [détail des éditions] [lire en ligne [archive]], I, 446 et suiv.
- ↑ Silius Italicus, Puniques, I, 81 et suiv.
- ↑ G. De Sanctis, Storia dei Romani.
- Hygin, Fables [détail des éditions] [(la) lire en ligne] (CCXLIII).
- Justin, Abrégé des Histoires philippiques de Trogue Pompée [détail des éditions] [lire en ligne] (XVIII, 3-6).
- Ovide, Fastes [détail des éditions] [lire en ligne] (III, 543 et suiv.), Héroïdes [détail des éditions] [lire en ligne] (VII), Métamorphoses [détail des éditions] [lire en ligne] (XIV, 79 et suiv.).
- Timée de Tauroménion (fr. 23 Müller [lire en ligne]).
- Virgile, Énéide [détail des éditions] [lire en ligne] (passim).
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