Celtas si,celtas no…como la vida misma:¿Autóctonos o forasteros?
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L’histoire des Celtes. Un mot mal connu? Double cliquez pour ouvrir le dictionnaire. http://jfbradu.free.fr/celtes/les-celtes/cadre-histoire-celtes.php3#autochtones
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He encontrado esta página que resume la últimas opiniones que conozco sobre los celtas. Yo creo que son autóctonos.Pero hey diversas opiniones.
Los términos “Celtas”, “galos”, “galatas” L’appellation “Celtes” apparaît en premier chez Hécatée de Milet (vers 500 av JC) puis chez Hérodote (vers 450 av JC). Ce mot viendrait de l’indo-européen “keletos”, rapide, ou “kel-kol”, habitant, colon. L’HISTOIRE DES CELTES : Les origines des Celtes demeurent obscures et toute la lumière n’est pas faite sur leur arrivée en occident. Aujourd’hui, deux théories s’affrontent, la théorie classique (celle des migrations) et une théorie plus récente qui laisse à penser que les Celtes pourraient être la population autochtone de l’Europe de l’Ouest. La théorie des migrations des Celtes Une culture homogène apparaît sur les steppes d’Asie Centrale au VIème millénaire av JC : le peuple de Kourgan de langue indo-européenne (pratique funéraire du tumulus). Ce peuple atteint l’Europe orientale vers 4000 av JC, puis migre vers l’Europe de l’Ouest à partir de 2500 av JC et remplace les populations autochtones, non indo-européennes (culture des vases campaniformes). Les Celtes auraient pénétré en Gaule vers 1200 av JC (à la fin de l’âge du bronze). Au début du Ier millénaire, vers 900 av JC, une nouvelle civilisation s’implante dans notre pays, celle du fer. Mais il faut attendre le Vème siècle av JC pour qu’on puisse affirmer avec certitude que les peuples établis en Gaule sont bien des Celtes. 1. Entre 1800 et 1200 avant JC : une civilisation protoceltique (âge du bronze ancien et moyen) 2. Entre 1200 et 900 avant JC : la civilisation des “champs d’urnes” (âge du bronze final) |
Musée de St Germain-en-Laye |
Cet ensemble de cuirasses en bronze, découvertes à Marmesse (Haute-Marne) datant de la transition entre l’Age du bronze et du fer (IXème, VIIIème siècles av JC) est un ensemble unique en Europe. Ces cuirasses sont caractéristiques de l’armement défensif de prestige des riches guerriers au temps des premiers Celtes. Chaque cuirasse est composée de deux coques en feuille de bronze chaudronnée, rivetées sur l’un des côtés et fermées de l’autre par un système de crochets. |
- dans la technique de la céramique : le potier parvient à obtenir, sans l’aide du tour, une régularité des parois, une finesse, un poli, un fini extraordinaires. L’art de la cuisson se perfectionne; après les fours creusés dans la terre, apparaissent les fours construits. 3. Entre 900 et 480 av JC : la période de hallstatt: le premier âge du fer 4. Entre le Vème et le IIème siècle av JC : la période de la Tène (deuxième âge du fer) |
Carte à partir du Belin 6ème
L’expansion maximale des Celtes se produit aux IVe et IIIe siècles avant notre ère. Vers 450 av JC, la Gaule est envahie à nouveau par des peuples venant de l’est et apportant des coutumes nouvelles, on peut parler ici de Celtes au sens propre du terme. Contrairement à ce que l’on avait pu penser, ces migrations ne prennent pas un caractère massif, les Celtes s’implantent par petits groupes et s’assimilent avec le peuplement d’origine. Ils sont attirés par les richesses agricoles et commerciales de l’Europe de l’Ouest, ils fuient leurs terres surpeuplées et un climat qui se dégrade (plus froid et plus humide). Les auteurs classiques parlent de ces Celtes comme de terribles barbares (féroces), montés torse nu (pour braver leurs ennemis) et casqués sur leurs petits chevaux, une longue épée à la main. Ils se répandent en Belgique, en Gaule, en Espagne et franchissent la Manche. Vers 390 av JC, les Gaulois de la tribu des Sénons (ou des Bituriges), commandés par Brennos, pénètrent en Italie du Nord et assiègent une ville étrusque : Clusium (Chiusi). Des ambassadeurs romains prennent parti contre les Celtes. Ces derniers lèvent le siège pour aller punir Rome de cette ingérence. Les deux armées se rencontrent à Allia, Brennos, fort de ses 60 000 hommes, inflige aux Romains (40 000 h) une cuisante défaite (-387). Les Gaulois pénètrent ensuite dans Rome qu’ils incendient, à l’exception du Capitole (épisode des oies du Capitole) qui résiste sept mois. Brennos accepte alors de quitter la ville en échange d’une rançon de mille livres d’or (épisode : “Malheur aux vaincus”).
Mais une partie de ces guerriers se fixe en Italie du Nord (la Gaule Cisalpine). La vague celtique continue ses incursions; dans les régions danubiennes, les Illyriens sont écrasés. En 281 av JC, trois armées celtes pénètrent en Grèce, en Thrace et en Macédoine. Delphes est pillée en 279 av JC, mais l’hiver et la maladie obligent l’armée à se replier en Macédoine où leur chef (un autre Brennos) se suicide. Après avoir subi une défaite contre le Macédonien Antigone Gonatas, le reste de l’armée va s’installer en Asie Mineure et fonde la Galatie. 5. La Gaule à la veille de la conquête romaine * La “Gaule chevelue” : c’est César qui emploie cette expression (« Gallia comata ») dans son Commentaire sur la Guerre des Gaules pour désigner la Gaule non encore soumise à Rome, c’est-à-dire les Trois Gaules (l’Aquitaine, la Celtique, la Belgique). Certains pensent que le mot “chevelue” fait référence à la longueur des cheveux portés par les Gaulois (ce qui est aussi en grande partie inexact) ou au caractère non- civilisé de cette Gaule, d’après César. La Narbonnaise : elle est conquise par les Romains (d’où son appellation : la Province, ce qui donnera le mot “Provence”) dès 121 av JC. Mais cette région avait déjà subi une forte influence grecque par la fondation de Phocée (Marseille) vers 600 av JC. 6. A partir du IIème siècle avant JC : la domination romaine. La théorie des Celtes autochtones de l’Europe de l’Ouest La théorie des migrations s’appuie sur les caractères communs de la langue et des croyances (travaux de G. Dumézil) de la famille “indo-européenne”. Mais certains chercheurs (ex : John Brough) ont remis en question les travaux de Dumézil en montrant que les valeurs originales des Indo-Européens se retrouvaient aussi dans la bible qui appartient au fonds sémitique. De plus, des données archéologiques dans les régions danubiennes remettent en question la thèse des migrations qui n’a laissé aucune trace. La théorie des migrations n’arrive pas à expliquer, non plus, la présence précoce, à l’ouest, de peuples celtiques : les Celtes d’Armorique et les Celtibères. Patrice Brun pense qu’il n’y a aucune rupture culturelle dans l’aire géographique des Celtes en Europe, les variations de rites funéraires (inhumation-incinération) ne témoignent pas de remplacement de populations, mais uniquement d’évolutions culturelles locales. En fait, les Celtes seraient apparus beaucoup plus tôt qu’on le pensait, vers 2500 av JC. Dans cette hypothèse, la culture des vases campaniformes, qui couvre toute l’Europe occidentale au IIIème millénaire av JC, pourrait être d’origine indo-européenne et s’inscrire dans la phase des Proto-Celtes. Ainsi la culture des mégalithes (Carnac, Stonehenge) aurait une origine celte et Obélix, du fait, deviendrait moins anachronique avec ses menhirs. |
Les Indo-Européens, nos ancêtres? Cette conférence s’appuie principalement sur les travaux de Georges Dumézil et sur sa conviction qu’un même peuple serait à l’origine du peuplement du continent européen et de l’Inde : les Indo-Européens. Toutefois, on n’a aucune preuve archéologique que ce peuple ait vraiment existé et il n’y a pas de race indo-européenne. On admet cependant qu’il y a eu un peuple (entre 10 000 et 6000 ans) qui parlait une langue qui est à l’origine de presque toutes des langues parlées dans l’espace européen et indien aujourd’hui. En effet, toutes ces langues présentent dans leur grammaire et leur vocabulaire de telles ressemblances qu’on ne peut l’expliquer que par une origine commune. Ce peuple Indo-Européen, localisé peut-être dans l’Ukraine actuelle, aurait accompli, pour des raisons inconnues et à des époques différentes, des vagues de migrations dans toutes les directions en imposant sa langue aux peuples qu’il aurait vaincus : les Pré-Indo-Européens. 1. Les Pré-Indo-Européens 2. La communauté indo-européenne 3. Les origines probables des Indo-Européens 4. Les huit grandes vagues des Indo-Européens 5. Les peuples Post-Indo-Européens¨ |
Résumé de la page :
Aujourd’hui Encore , on ne connaît pas avec certitude quand et comment les Celtes (des Indo-Européens) sont venus s’installer en Europe de l’Ouest. Deux théories s’affrontent, la théorie classique est celle des migrations. Les Celtes seraient venus par vagues successives d’Europe orientale où ils se seraient fixés vers 4000 av JC. Ils auraient atteint l’Europe centrale, puis occidentale au 2ème millénaire av JC. Les Celtes seraient arrivés en Gaule vers 1200 av JC. La seule certitude que nous ayons, c’est qu’au Vème siècle av JC la Gaule est bien peuplée de Celtes.
On a l’habitude de distinguer trois périodes successives dans la civilisation celte :
- Entre 1200 et 900 avant JC, une civilisation appelée les “champs d’urnes”, à l’âge du bronze final (incinération des morts, naissance des oppida, grands progrès techniques)
- Entre 900 et 480 av JC : la période de Hallstatt, au premier âge du fer (période fastueuse des principautés guerrières)
- Entre le Vème et le IIème siècle av JC : la période de la Tène, au deuxième âge du fer (période d’extension maximale des Celtes, certains s’installent dans la plaine du Pô, apogée des oppida)
A partir du IIème siècle avant JC commence la domination romaine et la fin progressive de la civilisation proprement celte.
La théorie la plus récente pense que les Celtes seraient arrivés dans notre pays beaucoup plus tôt que le dit la thèse des migrations, ce sont eux qui auraient érigé les mégalithes.
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